Adieu Jean-Marie,
Je me souviens des bons moments, autour des repas qui ne se terminent pas. Des bons mots en alsacien, qu’il fallait me traduire et que je ne comprenais pas, et oui traduit ça n’est plus pareil...
Je garderai ta gentillesse un peu bourrue, un peu râleuse,
Je n’oublierai pas ton courage, face à la douleur, tu ne te plaignais pas...
Repose toi bien là où tu es.