Françoise, très chère, nous ne nous plus revues depuis que vous avez quitté le Verger. J’ai un gros chagrin - une tristesse infinie. Mon dernier souvenir de vous : un fou rire au salon de Colmar... et ce que nous n’avons pas pu faire. cette balade dans les Vosges, que vous aviez voulu improviser alors que j’étais retenue ailleurs. Votre petit ange me reste...